mercredi 18 janvier 2012

DANS LES EAUX ETRANGES DU HASARD…

Lorsque j’ai appris le naufrage du Costa Concordia, j’ai été sidéré comme tout le monde. Les images de ce mastodonte de fer s’enfonçant dans la mer, que j’ai découvertes ensuite,  n’ont fait qu’ajouter  à ma stupéfaction.

Passé l’effet de surprise provoqué par ce drame terrible, j’ai été frappé par deux coïncidences. La première, qui a été relevée par beaucoup d'internautes : le naufrage du Costa Concordia, éventré par un éperon de pierre, survient un siècle après celui du Titanic fracassé contre un éperon de glace. Deux époques, deux symboles, deux naufrages inconcevables mais pourtant bien réels.

La deuxième coïncidence est plus intime. Le naufrage du Concordia est survenu la nuit même où je mettais le point final au manuscrit de Jack Spark 4. Mais surtout le nom de ce navire, dont je ne savais rien en rédigeant la dernière saison du Cas, y joue un rôle central.
Ce n'est bien sûr qu'un pur hasard, mais il m'a frappé, et il fallait que j'en parle : c'est chose faite.


Le Titanic au port de Southampton



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